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'Personne ne sait...' : Brigitte Macron, qui refuse de confirmer la rumeur tenace


Brigitte Macron ne répond généralement pas aux rumeurs sur ses convictions politiques. Mais il y en a bien un "soutenu par Nicolas Sarkozy" qui a diverti la première dame, indique Le Point dans une édition du jeudi 9 février.



L'histoire de l'amitié entre Brigitte Macron et Nicolas Sarkozy. Quant à dire que la première dame a voté pour lui en 2007... L'épouse d'Emmanuel Macron se méfie de ses opinions politiques, amusée par les rumeurs sur son scrutin, commente Le Point jeudi 9 février dans la version. "Personne ne sait", a-t-elle répété "avec un grand sourire" aux plus curieux. « Issue de la bourgeoisie de province », elle serait « toujours agacée des convictions de droite que nous lui avons données par le déterminisme ».

Pourtant, l'histoire sur son bulletin de vote a été portée par l'ancien président lui-même, soutenu par "des gens qui l'ont vu lors de dîners devant l'Elysée", notamment lors de ses "sorties très pro-business". Conférence "Tendances centre-droite, plus de modems libéraux", se souvient un de mes collègues chez nous. Mais l'ancien professeur de littérature "se veut en fait être plus libéral sur les questions sociales qu'on ne le pense".

Brigitte Macron contrainte de "faire plus attention" à ce qu'elle dit

Si ce n'était "pas un mot" à l'époque, l'actuelle première dame est "plus prudente". Elle confiait à Gilles Bouleau au JT de 20h le 9 janvier : "Je vois plus ce que je dis, même si je fais beaucoup d'erreurs." Avant d'expliquer : "Je fais plus attention parce que, ce que je dis, ça ne fait pas que m'attirer. Alors, là, j'ai peur. Je préférerais avoir une parole plus libre".

Répondant aux rumeurs selon lesquelles elle aiderait Emmanuel Macron à prendre des décisions politiques, elle a répondu : "Je suis l'intermédiaire, je lui passe le message. Je ne me laisserais jamais : 'Attention, fais ci, Fais ça', mais je me téléporte" . Si elle ne défend ni ne dénonce les mesures du président de la République et de son gouvernement, elle assure à son mari : « Il saura s'adapter aux circonstances, mais au fond il reste ce qu'il a toujours été. » Au deuxième quinquennat, il s'est rapproché comme la première fois, et il a commencé aussi vite qu'il le pouvait."

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