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Pierre Palmade sur "l'état sale" des Enfoirés : Jean-Jacques Goldman réagit



 Les proches de Pierre Palmard sont assez prudents depuis le début de l'affaire qui porte désormais son nom. Dans les années 1990, l'humoriste est soutenu par Jean-Jacques Goldman lorsqu'il intègre la prestigieuse troupe des Enfoirés.



Le penchant de Pierre Palmade est bien connu dans le show business. Le 10 février, l'humoriste de 54 ans s'est retrouvé impliqué dans un grave accident de la circulation en Seine-et-Marne qui a gravement blessé trois personnes. Depuis, les amis de l'acteur se sont bien gardés de réagir publiquement à la sombre affaire. Il faut dire que certains de son entourage, comme Michèle Laroque, ont déjà "souffré" de ses excès. Pierre Palmmade s'en est rendu compte. Dans son autobiographie de 2019, "Dis à mon père que je suis célèbre", publiée par HarperCollins, il admet avoir blessé sa partenaire à l'époque : "[Elle] a parfois souffert de me voir fatigué - un euphémisme. Cela dit, elle était aussi contente quand je lui racontais ce que je faisais le soir", raconte Pierre Palmade. Si Michel Laroque se sent souvent impuissant face aux débordements comiques, elle le sera. Ses camarades sont restés sur le terrain. Et elle n'était pas la seulement un...

Dans les coulisses des Enfoirés, Jean-Jacques Goldman a également été témoin de l'addiction de l'acteur. Cependant, il a décidé de ne pas juger l'homme qui a rejoint la troupe en 1993. Son livre a été publié en 2019. Pour raconter sa conversation avec un traducteur comme vous : "'Tu as plus mal que tu t'ennuies', m'a-t-il dit." Aux yeux de l'humoriste, le père de Michael Goldman, lui aussi, "était l'un de ces substituts très importants. L'un des les partenaires".

Quand Pierre Palmade se confiait sur sa toxicomanie devant un juge

Pierre Palmade, qui porte actuellement un bracelet électronique et est affecté au Pôle Addictions de l'hôpital Paul-Brousse (Val-de-Marne), dans le cadre de l'enquête "homicide et blessures involontaires", n'en est pas à sa première lacune. ses premiers pas de comédien, il est emporté par la frénésie du succès, perdu dans la nuit parisienne et ses excès. En conséquence, en 1992, la police a trouvé un sac de cocaïne sur sa table de chevet, a rapporté Le Nouveau Détective le mercredi 22 février. Convoqués devant un juge, les complices de Muriel Robin ont détaillé ses habitudes destructrices : « 5 grammes » de poudre blanche par semaine, soit « 7 ou 8 rails par jour »…

Après l'audience, les procureurs ont requis une peine de quatre mois avec sursis. Des propos qui ont profondément troublé l'acteur. "J'ai craqué. Mon avocat s'est levé. J'ai écouté ses arguments dans un état second. Il a plaidé jeune, vulnérable... Je ne sais plus. Huit jours du procès au prononcé de la peine (...) Huit jours pendant cette période , s'ils me parlaient de prison, j'envisageais sérieusement la mort, même avec sursis », écrit Pierre Palmard dans son autobiographie Dis à mon père que je suis célèbre. Au final, l'humoriste écope d'une amende de 10 000 francs.


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